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46 éléments trouvés pour «  »

  • EXTRÉMISME(S) ET PRÉCARITÉ : À QUI LA FAUTE ?

    Laïcité Brabant wallon décline la campagne du CAL « les extrémismes : notre prison. » au travers d’une journée audacieuse consacrée à la compréhension de la nature du lien souvent établi, à tort ou à raison, entre précarité et extrémisme(s) avec Christine Mahy et François Debras. En prévision des élections 2024, à quelques jours de la célébration des 75 ans de la déclaration universelle des droits de l’homme, les équipes de Laïcité brabant wallon (LBW) se mobilisent. Ainsi le Service Laïque d’Action Citoyenne organise le 29 novembre une journée de réflexion autour des extrémismes et des formes de précarités. En effet, à la suite de la convention qui, en octobre 2022, a réuni à la Sucrerie tout le « peuple laïque », sympathisants et professionnels, la régionale du Brabant wallon poursuit ses travaux de lutte contre la précarité. Fort de ses réflexions, collaborations et consultations menées depuis 2 ans, nous vous proposons donc de pousser plus avant nos recherches et questionnements en nous attachant à une thématique qui répondra pour autant aux enjeux de la campagne d’éducation permanente portée par le Centre d’Action Laïque : « Les extrémisme(s): notre prison. » Pentes glissantes et arguments fallacieux ? La précarité économique, sociale, affective peut engendrer un sentiment de frustration et d'injustice chez certaines personnes. Cette frustration associée aux désillusions induites pourrait les rendre plus réceptives aux discours extrémistes qui attribuent les problèmes à des groupes spécifiques (ethniques, religieux, etc.) ou à des systèmes politiques particuliers. Les phénomènes d’aliénation sociale et les sentiments d’injustice peuvent, en effet, amener les personnes concernées à se sentir marginalisées voir exclues socialement, conduisant, dans certains cas à la recherche d'une identité et d'un sentiment d'appartenance ailleurs, dans des mouvements extrémistes qui leur offrent une communauté et un objectif qui recrée une forme de lien sociale basé sur le rejet et le « prêt à penser ». Cependant, notons que la majorité des individus vivant dans des conditions précaires ne deviennent pas de facto extrémistes. Plus loin, certains groupes extrémistes attirent à coup d’argumentations fallacieuses et d’exagération des individus fragilisés en offrant des réponses simplistes à des problèmes complexes en présentant par exemple des boucs émissaires faciles à blâmer pour les difficultés économiques et sociales qu’ils rencontrent. Ce double mouvement participe à la re-(dé)composition du lien social en déconstruisant la cohésion. Les notions de précarité et d’extrémisme misent en lien le 29 novembre, présentent au-delà de leurs relations ambivalentes et contrastées au moins deux points communs, elles tendent chacune à opposer les uns aux autres, en enfermant plutôt qu’en émancipant, et affaiblissent notre système démocratique en fragilisant les droits et libertés fondamentales. Une matinée Afin de délimiter les contours, relations et enjeux de ces deux concepts pour le moins complexes car englobants nombres de réalités, récupérations, instrumentations politiques ou idéologiques et afin de ne pas risquer une lecture trop rapide, relativiste des liens supposés, parfois construits, entretenus, entre précarité et extrémisme(s) nous accueillerons à la suite de la lecture de la pièce « Les Grandes Marées » (voir encadré) Christine Mahy, Secrétaire générale du Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté et François Debras, Professeur associé au sein du « Centre d’Etudes Démocratie » de la Faculté de Droit, de Science politique et de Criminologie de l’Université de Liège, , autour de la thématique : Précarité et extrémisme(s) : à qui la faute ? Des ateliers L’après-midi nous prendrons le temps, de mettre en perspective nos réflexions du matin lors de plusieurs ateliers participatifs propices aux échanges autour du vécu relatif de chacun. Nous chercherons donc à clarifier les concepts, poser les enjeux et analyser les argumentions qui font et défont les discours normalisés comme politiques du rejet en constitutif et constituant à hauteur la structuration de nos croyances tout en induisant nos comportements d’électeurs, de citoyens … Du « « malgré nous » au « ce n’c’est pas nous, c’est eux » ayons le courage de penser et faire penser nos altérités afin d’assumer la responsabilité du lien social sans cesse distendu par des particularismes et préjugés. Déconstruisons l’obscurité rassurante de nos croyances qui toujours simplifient et aveuglent pour redonner au « vivre avec » la complexité sans laquelle la rencontre s’englue dans le conflit. Séquence 9h accueil 9h30 -10h45 lecture de la pièce « Les Grandes Marées » 10h45-11h bord de scène 11h-11h15 pause-café 11h15-12h30 table ronde Christine Mahy et François Debras Pause midi Ateliers réflexifs 13h30-15h 15h-15h15 pause-café 15h15-16h clôture Inscriptions obligatoires : Nom, Prénom et employeur au 010/22.31.91 ou calbw@laicite.net Le 29 novembre 2023 de 9h à 16h Maison de la Laïcité Irène Joliot-Curie, 33, rue Lambert Fortune, 1300 Wavre GRATUIT

  • Rencontres Internationales sur les Nouvelles Pratiques Philosophiques

    Le Pôle Philo a le plaisir de faire partie du Comité de pilotage des 22èmes Rencontres Internationales sur les Nouvelles Pratiques Philosophiques, et d'y organiser, en particulier, le chantier PhiloArt. Celui-ci aura lieu le mercredi 15 novembre et le jeudi 16 novembre 2023, au Mans. Le thème de ces Rencontres est "La comédie". Au plaisir de vous y retrouver !

  • LUDO PHILO

    Envie de jouer, d’échanger et de réfléchir ? Ludo Philo est un moment d’amusement autour d’un jeu de société avec notre petite touche philo… C’est l’occasion de jouer, de rigoler, de s’indigner, de réfléchir… et d’en parler. Venez découvrir des jeux pour vous poser des questions qui (d)étonnent dans une ambiance conviviale. 19 octobre 2023 : Galerapagos, coopérez … ou pas ! Galerapagos est un jeu semi-coopératif dans lequel les joueurs forment un groupe de rescapés sur une île déserte après le naufrage d'un bateau. Afin de s'en sortir, les survivants n'ont d'autre choix que de s'unir dans la construction d'un radeau. Si l’entraide est de mise pour récolter eau, nourriture pour survivre et bois pour construire des radeaux et quitter l’île à temps, il est fort probable que l’union ne fasse pas toujours la force et qu’un ou deux morts ternissent cette belle assemblée. À la Bouquinerie du Pub, à Ottignies, de 19h30 à 21h30. Sur inscription à polephilo@laicite.net ou au 010/22 31 91

  • L'OPÉRATION SLAC À DOS

    A l’occasion de la journée mondiale de lutte contre la pauvreté, Laïcité Brabant wallon, par l’intermédiaire de son Service d’Action Citoyenne (SLAC) et le relais social du Brabant wallon lancent l’opération « Slac à dos » au profit des plus fragilisés et des « sans chez soi » du Brabant wallon. Notre volonté est de fournir du matériel en bon état et approprié (léger, compact et transportable à pied) aux besoins des personnes. Il s’agit donc de cibler ses dons pour être le plus efficace possible et répondre aux demandes de nos ayants droits. Liste du matériel : Kit saisonnier : Lunettes de soleil Crème solaire Sacs à dos (taille moyenne) Sacs de couchages Tentes type quechua 2’’ Couvertures de survie Couvertures Vêtements pour hommes et femmes (jeans, basket, chaussettes, chaussures de marche et baskets de la taille 36 à 45, T-shirt, pulls à capuche, sweat, sous-vêtements) Bonnets Sous-vêtements longs et sous-vêtements thermolactyls (type ski) Gants Lampes torches autonomes (dynamo) Gourdes et thermos Kit hygiène : Dentifrice en tube Gel douche / shampoing Brosse à dents Déodorant Crème type Nivea Gant de toilette Coton-tige Rasoir Crème à raser Set de manucure Gel désinfectant Lingettes Serviettes microfibres (grande) Serviettes hygiéniques Petit kit de premiers soins (voyage) Point de dépôt (sur rendez-vous) : Ouvre boites - Amandine Viola 7 rue aux souris, 1400 Nivelles 067/84.00.37 amandine.viola@ouvre-boites.be LBW Wavre - Nathalie Dewaelheyns 33 rue Lambert Fortune, 1300 Wavre 010/22.31.91 nathalie.dewaelheyns@laicite.net ML Condorcet - Daphné Sommelette 20 Avenue du Centenaire,1320 Hamme-mille 010/24.80.91 info@maison-condorcet.be Le 38 carrefour culturel - Vanessa Pinoy 38 rue de Bruxelles, 1470 Genappe 067/77.16.27 vanessa@le38.be La Fabrique de Soi - Anne Beghin 55 Rue de Mons, 1480 Tubize 0478/36.54.69 anne.beghin@laicite.net Téléchargez notre flyer :

  • NE ME LIBÈRE PAS, JE M'EN CHARGE

    Création collective en collaboration avec le Centre d’Action Laïque du Brabant Wallon, la Touline ASBL et le Théâtre des Rues. « Mon cher corps, on a fait de toi un champ de bataille. Transformé, mutilé, gonflé, botoxé, liposucé, amaigri, asservi, convoité, vendu, violé, objectivé, blessé, anéanti. Aujourd’hui, mon cher corps, je reprends possession de toi ! » « Objet : chose inerte, sans pensée, sans volonté et sans droits » Aujourd’hui encore et même si certaines avancées politiques sont acquises, le corps de la femme est assimilé au statut d’objet de désir, de service, de procréation ou encore de domination. Ne me libère pas, je m’en charge dresse le portrait ébréché de la femme-objet aux multiples facettes en s’immisçant dans l’intimité d’une constellation familiale de femmes sur plusieurs générations. 6 femmes qui luttent contre l’emprise et cherchent leur chemin vers l’autodétermination. 6 vies traversées de parcours de libération. 6 citoyennes qui s’emparent de la scène comme acte de résilience. Avec : Francine Bossu Isabelle Couplet Josseline Lothier Aurore Mertens Hakima Nassor Catherine Van Braekel Dramaturgie et mise en scène : Laura Bejarano Medina Musique : Zacharie Viseur NE MANQUEZ PAS CETTE OCCASION DE PROGRAMMER CE SPECTACLE ! Contactez-nous pour plus d'informations : calbw@laicite.net

  • LA FABRIQUE DE SOI GAGNE LE PRIX COUP DE COEUR DU PUBLIC

    Le vendredi 22 septembre, la cérémonie des Orchidées organisée par le Brabant wallon a mis à l’honneur différents lauréats de la Province La Fabrique de Soi avec ses 1345 votes remporte le prix du public ! Merci infiniment à ceux et celles qui nous suivent, nous encouragent, nous font confiance. Merci à tous nos partenaires et soutiens dont le Plan de cohésion sociale de Tubize et la Province du Brabant wallon Belle reconnaissance pour Laïcité Brabant wallon qui a ouvert cette antenne tubizienne il y a 21 ans et pour toute l’équipe de la Fabrique de Soi Mise en valeur de 3 projets phare : L’exposition artistique de l’Espace Créa explore des thématiques ancrées dans l’actualité et le monde d’aujourd’hui, L’Opération Boites à KDO, organisée sur tout le BW au profit de quelque 1400 enfants, fête cette année sa quinzième édition, Le service de tutorat scolaire ado-enfant est un service qui souhaite faire bénéficier son expérience aux associations et aux communes, au profit d’un maximum d’enfants. Recevoir un prix c’est toujours gai. Toutefois notre combat pour une société plus inclusive, bienveillante et égalitaire continue. Ce prix fut aussi une occasion d’interpeller le politique en ce sens: "Je fais un clin d’œil aux autorités communales ce soir présentes pour leur rappeler qu’en tant que Pouvoir Organisateur de nombreuses écoles du Brabant wallon elles ont la responsabilité d’optimiser le bien-être et la réussite scolaire des enfants. Ce soir nous vous offrons notre petite baguette magique, celle du tutorat scolaire ado-enfant. Mettez-le en place partout, que cela fasse partie du paysage scolaire. L’équipe de la Fabrique de Soi et l’ensemble du Centre d’Action laïque du Brabant wallon sont prêts à vous aider à le mettre en place. Le tutorat est un merveilleux outil de lutte contre les inégalités scolaires. Il s’agit d’une solution individuelle à ce problème collectif. Nos adolescents sont compétents et solidaires."

  • LES MARCHES DU VIDE. UNE PREMIÈRE EXPÉRIMENTALE À OTTIGNIES !

    Fin juin, une première marche du vide réunissait une vingtaine de personnes au centre d’Ottignies. Cette promenade guidée d’environ cinq kilomètres vise à sensibiliser divers publics à la question du droit au logement et, tout particulièrement, à la lutte contre l’inoccupation. La première marche abordait notamment l’action en cessation. Cet outil de lutte contre l’inoccupation dont des associations de droit au logement peuvent se saisir est consacré par le Code wallon de l’habitation durable. L’originalité du dispositif est de partir du local pour agir sur le régional. La première édition, expérimentale, avait pour but de tester un modèle qui s’adaptera à divers publics et qui pourrait être dupliqué, localement, pour susciter un maillage régional comme base collective de mobilisation sur les moyen et long termes. Selon les personnes à mobiliser/sensibiliser (personnes sans-abri, responsables communaux, propriétaires, etc.), chaque marche abordera un aspect de la problématique en arborant une thématique spécifique adaptée au public visé et aux objectifs identifiés par les organisateurs. Ainsi, suivant un parcours choisi, une vingtaine de personnes partiront à la découverte d’un territoire avec un œil nouveau, attaché à percevoir l’environnement, qu’il soit urbain ou rural, par le prisme du droit au logement. Aux manettes de cette première marche, Brice Droumart de Laïcité Brabant wallon et Vincent Wattiez du Réseau brabançon pour le droit au logement, pour l’animation, et Clara Adler d’Habitat et Participation asbl. Chaque halte est l’occasion d’informer sur les questions relatives au cadre légal, aux types d’habitats, aux divers enjeux ciblés (notamment l’identification), aux effets pervers des inoccupations sans raison légitime (chancre, sensation d’insécurité, pression sur la pénurie…), aux expériences vécues (de citoyen.nes ou d’administrations), aux occupations conventionnées ou non, mais aussi d’échanger avec les participant·es de manière critique, créative et argumentée autour des problématiques liées à l’inoccupation de logement. Le parcours d’environ cinq kilomètres, guidé par un ou plusieurs animateurs et/ou experts, est tracé pour permettre la découverte des territoires, de leurs enjeux et des logements inoccupés. Aux manettes de cette première marche, Brice Droumart de Laïcité Brabant wallon et Vincent Wattiez du Réseau brabançon pour le droit au logement, pour l’animation, et Clara Adler d’Habitat et participation asbl, qui fournissait une information générale sur le droit du logement, sur les modalités et les aspects juridiques de l’action en cessation, sur l’identification des logements inoccupés ou encore sur la présomption d’inoccupation. PARTIR DU LOCAL POUR AGIR SUR LE RÉGIONAL L’objectif visé par les « Marches du Vide », à la fois politique et éthique, est de mettre en lumière certaines situations en rappelant que la propriété privée ne peut nuire au droit au logement par des phénomènes abusifs d’inoccupation. Il s’agit d’élaborer un débat et des solutions tenables pour la société dans sa globalité. Les « Marches du Vide » permettent la rencontre de personnes concernées par l’inoccupation à travers différents niveaux de rassemblement et de réseau, par bassin, par ville dans une Région. Chaque niveau devant être pensé pour renforcer l’autre, l’originalité du projet est de partir du local pour agir sur le régional. Il n’est toutefois pas question d’organiser la délation de propriétés repérées comme vides, bien sûr ! Les « Marches du Vide » permettent la rencontres de personnes concernées par l’inoccupation à travers différents niveaux de rassemblement et de réseau, par bassin, par ville dans une Région. Comme le souligne Anne-Esther Henao, chargée de projet de la plateforme de coopération culturelle du Centre culturel du Brabant wallon, « la marche permet de mieux observer, de mieux réceptionner, de mieux écouter, de mieux échanger. L’esprit est souvent plus actif et la perception plus ouverte. Elle crée des façons d’être en contact avec l’environnement, à partir de ce qui est existant ». La première marche organisée fin juin empruntait voies urbaines et chemins bucoliques. Elle a permis de constater que de nombreux immeubles d’habitation sont inoccupés, même quand ils paraissent en bon état. Une végétation envahissante, mais aussi des toiles d’araignées plus discrètes, sont des signes que l’on ne repère pas nécessairement lorsqu’on circule en véhicule motorisé. À terme, les concepteurs des « Marches du vide » fourniront aussi des dossiers pédagogiques adaptés aux différents types de démarches et d’intérêts publics. L’enjeu est que d’autres structures, d’éducation permanente ou non, s’approprient l’outil de sensibilisation et de mobilisation afin d’organiser de telles marches localement sur l’ensemble du territoire wallon, pour organiser la lutte contre l’inoccupation. Cet outil semble tout à fait pertinent pour informer et toucher tous les étages de la société civile. - Caroline Dunski Le dispositif est une maille mise en place par certains membres du RDBL (Centre culturel du Brabant wallon, Habitat et Participation asbl, Laïcité BW et du Rassemblement wallon pour le droit à l’habitat (Rapel, DAL Tournai, Solidarités Nouvelles…). Son maillage doit partir du local pour agir au niveau régional.

  • SEMAINE MORTELLE

    Durant une semaine, LBW sillonnera le BW lors de différentes activités (projection, café mortel, ateliers, rencontres) afin d'aborder une thématique qui nous touche toutes et tous : la fin de vie. WAVRE - " ATELIER ENTRE NOUS "DU DEUIL Honorer librement votre proche disparu Vous pourrez vous exprimer à votre rythme en toute bienveillance, partager vos émotions, votre ressenti, parler simplement de votre proche disparu, lui rendre hommage. A travers d’activités artistiques simples et symboliques. En compagnie de 1 à 3 autres personnes vivant elles aussi une situation identique. Dans un climat constructif, propice à la détente et au soutien moral. > Matériel et collation fournis Le 30 octobre de 13h30 à 16h30 et de 18h00 à 21h00 Rue Lambert Fortune, 33 - 1300 Wavre CONFÉRENCES VIA ZOOM Conférences uniquement réservées aux médecins. Nombre de places limité. Inscription obligatoire via eventsbw@laicite.net L'euthanasie : Le 31 octobre à 20h00 Après 21 ans d’application de la loi, nous vous proposons de faire le point sur l’euthanasie. Rappel du cadre légal par Jacqueline Herremans, avocate au Barreau de Bruxelles et présidente de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD). L’euthanasie vue par un médecin hospitalier par le Professeur François Damas, consultant sur la fin de vie à l’hôpital Citadelle de Liège. Chaque intervention sera suivie d’un échange de questions-réponses. Le médecin généraliste face à une demande d'euthanasie : Le 16 novembre à 20h00 Témoignage d’un médecin généraliste face à une demande d’euthanasie. Cette intervention très pratico-pratique sera suivie d’un échange de questions-réponses. Jacqueline Herremans et le Pr. Damas seront également présents lors de cette conférence. En partenariat avec l’ADMD et EOL. OTTIGNIES - CAFÉ MORTEL Modéré par Guy Van Hemelen, philosophe et Christian Langerome, conseiller laïque (20 personnes maximum). Un café mortel est un espace ouvert à toutes les personnes qui se sentent concernées par ce sujet ou qui s’interrogent sur la mort et le deuil. C’est aussi un moment de partage pour s’exprimer et écouter sans jugement. Une occasion pour se libérer et se sentir soutenu. Le 1er novembre de 13h30 à 15h00 Rue des Deux Ponts, 19 - 1340 Ottignies NIVELLES - PROJECTION "SUR LE PONT" Un film de Samuel et Frédéric Guillaume Des femmes et des hommes embarquent à bord d’un mystérieux train qui les emmène sur un pont suspendu entre ciel et terre. Certains tentent de comprendre la raison de leur présence dans cet endroit, d’autres parlent de leurs espoirs, de leurs peurs; des souvenirs terrestres affleurent parfois. Chacun vit à sa manière cet état de seuil sur le fil du rêve, comme lors d’un rite de passage. Toutes et tous cheminent vers un but mystérieux, la fin présumée du pont. Mais existe-t-elle vraiment ? Le 2 novembre à 20h00 Ciné 4 - Rue de Soignies, 4 - 1400 Nivelles INFORMATION ET INSCRIPTION eventsbw@laicite.net 010/22 31 91

  • PAS DE VACANCES POUR L'OPÉRATION BOÎTES À KDO

    IL N’EST JAMAIS TROP TÔT POUR SE LANCER DANS L’AVENTURE 1. Dès à présent … gardez votre dernière boite à chaussures, tongs ou baskets 2. Choisissez un âge 3. Glissez à l’intérieur de la boite plein de petites choses qui feront plaisir à l’enfant bénéficiaire: une pochette de crayons, une belle paire de chaussettes, un bonnet, un carnet de coloriage, un origami, des figurines, un jeu de cartes, un gadget, un livre, une petite bande dessinée, des bonbons, etc. Pour un ado n’hésitez pas à y glisser un flacon de gel douche, du gel pour les cheveux, des écouteurs, une crème de soin pour le visage, une clé usb, etc 4. Achetez ou confectionnez une belle carte postale. Rédigez un petit mot pour souhaiter une bonne année 2024 à l’enfant bénéficiaire 5. N’emballez pas votre boite. L’équipe pilote s’en chargera après vérification 6. Gardez votre boite jusqu’à l'ouverture des 6 points de dépôt: le 1er octobre Merci infiniment! 1500 enfants et adolescents placés, refugiés ou en situation de précarité familiale sont concernés par cette grande opération de solidarité dans le cadre des fêtes de fin d’année.

  • VIVE LES 15 ANS DE L’OPÉRATION BOITES À KDO!

    L’OPÉRATION BOITES À KDO FAIT PARTIE DES 138 PROJETS RECEVABLES SOUMIS AU VOTE DU PUBLIC DANS LE CADRE DE L’APPEL À PROJETS GÉNÉRATIONS SOLIDAIRES. Nous avons en effet déposé notre candidature dans le cadre de la quinzième édition de l’Opération ! Le public est invité à voter jusqu’au 13 juin 2023 à minuit pour 1 à 5 projets maximum. Chacun est invité à partager son vote sur Facebook avec le tag #Générationsolidaires2023 L’ensemble des votes du public ne sera PAS pris en compte pour les délibérations du jury. Il s’agit d’une mention spéciale du public. Le projet récoltant le plus de voix sera médiatisé. Par ailleurs, le jury mis en place par la Fondation Roi Baudouin – chargé de relire les dossiers – annoncera les 3 associations et les 5 écoles lauréates le 29 juin 2023. Voici le lien vers notre candidature. En un clic vous pouvez voter pour ce projet : https://www.generations-solidaires.be/vive-les-15-ans-de-loperation-boites-a-kdo/

  • LA FRESQUE DU CLIMAT S'INVITE À LAÏCITÉ BRABANT WALLON !

    LBW VOUS PROPOSE DÉSORMAIS LA POSSIBILITÉ D’ANIMER LA FRESQUE DU CLIMAT POUR LES 15-99 ANS POUR DES GROUPES DE MINIMUM 8 PERSONNES ET MAXIMUM 24 PERSONNES ! La Fresque du Climat encourage la diffusion rapide et à grande échelle d’une compréhension partagée des enjeux climatiques. Sa raison d’être est d’accélérer la compréhension des enjeux climatiques au niveau pour contribuer à déclencher, au plus tôt, les bascules nécessaires à la préservation du vivant. L’atelier a pour vocation de fournir des clés de compréhension pour que chacun puisse s’emparer du sujet de façon éclairée. L’animateur a pour mission de créer les conditions qui encouragent l’intelligence collective et facilitent ensuite la mise en œuvre de solutions. Notre animateur s’est formé auprès de l’association : https://fresqueduclimat.org/projet/association/ Renseignements auprès de Clement Gourdain via l'adresse mail : clement.gourdain@laicite.net

  • LES EXTRÉMISMES, NOTRE PRISON

    « Les extrémismes, notre prison. » Tel est le titre de la campagne d’éducation permanente 2023 du Centre d’Action Laïque. Au travers de cette campagne, le Centre d’Action Laïque entend contribuer à analyser les extrémismes, un phénomène complexe qui prend de multiples visages. De droite, de gauche, nationalistes, religieux ou philosophiques, écologistes, sociaux ou économiques, les opinions et comportements extrémistes questionnent les fondamentaux démocratiques et nous concernent toutes et tous. Par extrémismes, le Centre d’Action Laïque vise les doctrines ou attitudes dont les adeptes développent une pensée dogmatique, refusant toute alternative, qui les conduit à vouloir imposer leurs vues à l’ensemble de la société. En opposant des “eux”» aux “nous”, les tenants de ces courants portent atteinte à l’intégrité du corps social et mettent en péril l’Etat de droit. Les extrémismes enferment les idées, cadenassent les débats: ils sont notre prison. De fait, les idéaux extrémistes transforment les perceptions et accompagnent des croyances qui isolent ceux qui succombent à cette “pensée magique” offrant solution à tout. Car le trait commun des extrémismes est qu’ils reposent toujours sur une intolérance envers tout ce qui est autre dans une recherche de pureté (pureté identitaire à droite, pureté morale à gauche, pureté religieuse… voire leur combinaison comme les courants identitaires de droite reposant sur un socle prétendu commun de valeurs chrétiennes). Ces extrémismes, gonflés à bloc par les réseaux sociaux, sont dangereux. La campagne du Centre d’Action Laïque est une occasion de le dénoncer. D’une part, les extrémismes concourent à enfermer les citoyens dans des silos de pensée entre lesquels prévaut une compétition mutuellement exclusive: aucune place pour la nuance, une prime à l’hostilité si pas à la violence envers les adversaires. D’autre part, en rendant impossible un dialogue serein et un échange d’idées constructif, les extrémismes sapent l’intégrité de notre société. Ils dégradent les relations sociales et s’attaquent aux institutions démocratiques chargées d’assurer la cohésion sociale et de faire émerger l’intérêt général. Ils cadenassent la société en privilégiant les particularismes au détriment de l’universalisme et forment donc une menace directe pour l’État de droit. Puisqu’ils opposent les uns aux autres, puisqu’ils enferment plutôt que n’émancipent, ils affaiblissent notre système démocratique et fragilisent nos droits et libertés fondamentales. Aux extrémistes, y compris ceux se revendiquant de la laïcité, le Centre d’Action Laïque entend faire savoir qu’ils ne nous priveront pas de notre capacité de penser et notre liberté d’expression. Le principe de laïcité, tout au contraire de l’extrémisme, permet la coexistence pacifique et harmonieuse des différentes visions du monde présentes au sein de la société. Face aux extrémismes, le Centre d’Action Laïque veut susciter réflexion, méthode et action avec pour fils conducteurs, d’une part, cette idée “subversive” pour certains, d’un être humain maître de ses choix, de son destin et d’autre part, d’un travail qui nous amène à combattre toute logique de cristallisation des appartenances (logique qui, précisément, ne laisse aucune place à la mobilité ou la possibilité de faire des choix). Concrètement, la campagne mobilisera le Centre d’Action Laïque et ses sept régionales ainsi que nombreuses associations du mouvement laïque. Elle se déroulera à partir de mai 2023 sur tout le territoire de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Elle n’oubliera personne car nous n’ignorons pas non plus que la raison pour laquelle certains ont décidé de se retrancher dans un système de pensée magique, mythique est souvent parce qu’ils ne peuvent plus faire face aux réalités de la vie quotidienne. Le premier événement organisé dans ce cadre est le colloque “Xénophobie & hospitalité“, co-organisé avec Bruxelles Laïque le 4 mai à la Tricoterie à Saint-Gilles, autour de deux questions: Le rejet de l’autre, de l’étranger, est-il universel? Comment inventer de l’altérité sans hostilité?

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